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Les discriminations dans l’accès au logement demeurent une réalité pour de nombreuses personnes aujourd’hui en France. Faisant l’objet de peu de procédures judiciaires, celles-ci représentent pourtant la troisième situation de discriminations ressenties, derrière les relations avec les forces de l’ordre et l’accès à l’emploi.
C'est le but de notre projet "Salam, Shalom, Salut", lancé en 2018. Le projet a vocation à mettre en place un espace de discussion sain dans tout le territoire français autour de la question des identités multiples et complexes, notamment au travers des relations entre les Juifs et les Arabes.
Nos militants expliquent le programme dans cette tribune du journal Le Monde, publiée en décembre 2018.
Votre parole est attendue. Elle sera scrutée par celles et ceux dont les aïeux furent réduits en esclavage.
En 2016, plus de 150 associations se sont mobilisées pour demander, en guise de réparations ainsi que pour l’intérêt public, la mise en place d’un musée de l’esclavage.
Le lien vers la tribune ici.
Le slogan "Black-Blanc-Beur" est dépassé, car c'est l'évidence aux yeux de beaucoup de Français et notamment des nouvelles générations que la France l'est bien.
Le lien vers la tribune ici.
Le 2 février 2017, Théo LUHAKA était grièvement blessé par la police à Aulnaysous-Bois. Malgré cela, les pouvoirs publics ne semblent avoir tiré aucune conséquence de cette nouvelle affaire de violences policières.
Dans les mois qui ont suivi, SOS Racisme, après avoir organisé un grand rassemblement à République et rencontré le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur, a réuni des jeunes et des associatifs de la région parisienne afin de « tester » des propositions déjà formulées auprès des autorités et d’en élaborer de nouvelles.
Le résultat de ce travail est une Adresse Citoyenne comprenant un ensemble de mesures touchant au fonctionnement des forces de police, en souhaitant qu’elles soient prises en compte et donnent lieu à l’étude d’une série de réformes. La situation générale est par ailleurs à ce point dégradée qu’inverser les tendances à l’œuvre nécessitera à la fois du temps, une mobilisation de l’ensemble du gouvernement et la remise en cause d’un certain nombre de mesures d’ordre législatif mais également de notre conception de la sécurité publique dont nous devons avoir l’intelligence de l’éloigner de la politique du chiffre qui s’incarna il y a déjà quinze ans dans la quasi-disparition de la police de proximité.
Accéder au document dans son intégralité : Adresse citoyenne de SOS Racisme
Notre vidéo sur les violences policières : ici